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Infliximab: Comprendre et vivre sereinement votre traitement

Publié le 
July 21, 2025
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  1. L'infliximab est une biothérapie ciblant et neutralisant le TNF-alpha, une protéine responsable de l'inflammation chronique dans certaines maladies.
  2. Il est prescrit pour plusieurs maladies inflammatoires telles que la maladie de Crohn, la polyarthrite rhumatoïde, la spondylarthrite ankylosante, le psoriasis sévère, avec pour objectif d’atteindre la rémission et améliorer la qualité de vie.
  3. L'administration se fait par perfusion intraveineuse à l'hôpital, selon une phase d'induction (semaines 0, 2, 6) puis une phase d'entretien (une perfusion toutes les 8 semaines en moyenne).
  4. Les effets secondaires courants sont généralement bénins (réactions à la perfusion, infections fréquentes), mais le principal risque est l'infection, ce qui nécessite vigilance et contact immédiat avec un médecin en cas de symptômes.
  5. Il est recommandé de suivre les précautions liées aux vaccinations, à la grossesse, à l’allaitement, ainsi qu'à la gestion du mode de vie (alcool, alimentation), avec un suivi médical régulier et une bonne communication avec l’équipe soignante.

Infliximab (Remicade®, Remsima®, Inflectra®) : Le guide complet pour comprendre votre traitement

On vient de vous prescrire un traitement par infliximab, et il est tout à fait normal que de nombreuses questions se bousculent dans votre esprit. Recevoir un diagnostic pour une maladie chronique et commencer une nouvelle thérapie peut être une source d'inquiétude et d'incertitude.

Ce guide a été conçu pour vous. Son objectif est de répondre de manière claire, pratique et rassurante à vos interrogations. Nous allons démystifier l'infliximab, expliquer son fonctionnement, ses bénéfices, les aspects pratiques de son administration et aborder en toute transparence la question des risques et de la sécurité. Considérez cet article comme un partenaire d'information pour vous accompagner, en complément des discussions indispensables avec votre équipe soignante.

Catégorie 1 : Les Informations Fondamentales et Immédiates

Cette section répond aux questions essentielles que vous vous posez probablement juste après l'annonce de ce nouveau traitement.

1. Qu'est-ce que l'infliximab ? (Expliqué simplement)

Imaginez que dans votre corps, une protéine messagère, appelée TNF-alpha (Facteur de Nécrose Tumorale alpha), se soit emballée. Son rôle normal est de déclencher l'inflammation pour combattre les infections. Mais dans le cadre de votre maladie, elle est surproduite et crie en permanence "INFLAMMATION !" sans qu'il n'y ait de véritable menace à combattre. Cette inflammation chronique est la cause de vos symptômes : douleurs, lésions, fatigue...

L'infliximab est ce que l'on appelle un médicament biologique ou une biothérapie. Ce n'est pas un médicament chimique classique. Il s'agit d'un anticorps "intelligent", spécifiquement conçu en laboratoire pour une seule mission : cibler et neutraliser le TNF-alpha.

En termes simples, l'infliximab agit comme un garde du corps qui intercepte et bloque ce messager hyperactif. En empêchant le TNF-alpha de délivrer son message inflammatoire, il permet de calmer le système immunitaire, de réduire l'inflammation à sa source et ainsi de maîtriser votre maladie.

2. Pourquoi me le prescrit-on ? Pour quelles maladies ?

Votre médecin vous a prescrit l'infliximab parce qu'il est l'un des traitements les plus efficaces pour contrôler certaines maladies inflammatoires chroniques, en particulier lorsque les traitements plus conventionnels (comme les corticoïdes ou les immunosuppresseurs classiques) n'ont pas été suffisamment efficaces ou ont provoqué trop d'effets secondaires.

L'infliximab est homologué pour le traitement de plusieurs pathologies :

  • Maladies Inflammatoires Chroniques de l'Intestin (MICI) :
    • Maladie de Crohn : pour réduire les symptômes (diarrhées, douleurs abdominales), obtenir la cicatrisation des lésions de la paroi intestinale (muqueuse) et traiter les formes complexes (fistules).
    • Rectocolite Hémorragique (RCH) : pour contrôler l'inflammation du côlon, stopper les saignements et permettre à la muqueuse de guérir.
  • Rhumatismes Inflammatoires Chroniques :
    • Polyarthrite Rhumatoïde : pour diminuer la douleur, le gonflement des articulations et ralentir voire stopper la destruction du cartilage et de l'os.
    • Spondylarthrite Ankylosante : pour soulager les douleurs du dos et des articulations, et réduire l'enraidissement de la colonne vertébrale.
    • Rhumatisme Psoriasique : pour traiter à la fois les atteintes articulaires et les manifestations cutanées (psoriasis).
  • Dermatologie :
    • Psoriasis en plaques sévère : lorsque les autres traitements (crèmes, photothérapie, médicaments systémiques) sont inefficaces ou contre-indiqués.

L'objectif principal du traitement est d'atteindre la rémission, c'est-à-dire une phase où la maladie est "endormie" et où les symptômes disparaissent ou sont très faibles. En contrôlant la maladie sur le long terme, l'infliximab vise à :

  • Éviter les poussées inflammatoires.
  • Améliorer significativement votre qualité de vie.
  • Réduire ou arrêter l'utilisation de corticoïdes, limitant ainsi leurs effets secondaires à long terme.
  • Prévenir les complications de la maladie (chirurgie pour les MICI, destruction articulaire pour les rhumatismes).

3. Quels sont les bénéfices attendus ? Et à quelle vitesse ça marche ?

L'efficacité de l'infliximab est bien établie et pour de nombreux patients, il représente un tournant dans la gestion de leur maladie. Les bénéfices attendus sont concrets :

  • Diminution rapide des douleurs (articulaires, abdominales).
  • Réduction de la fatigue intense, souvent liée à l'inflammation chronique.
  • Cicatrisation des lésions internes (muqueuse intestinale) ou externes (plaques de psoriasis).
  • Amélioration de la mobilité et de la souplesse articulaire.
  • Retour à une vie sociale, professionnelle et personnelle plus normale.

La question de la rapidité d'action est cruciale. Il est important de comprendre que l'infliximab n'est pas un antidouleur instantané. Son action est progressive.

  • Les premiers effets : Certains patients ressentent une nette amélioration de leurs symptômes après la première ou la deuxième perfusion, soit dans les 2 à 4 semaines suivant le début du traitement.
  • Une efficacité progressive : Pour d'autres, il faut attendre la fin de la phase "d'induction" (les 3 premières perfusions sur 6 semaines) pour constater un bénéfice significatif.
  • Patience et communication : Le délai de réponse varie d'une personne à l'autre. Il est essentiel de ne pas se décourager si l'amélioration n'est pas immédiate. La patience est une alliée. N'hésitez pas à décrire précisément l'évolution de vos symptômes à votre médecin lors de chaque consultation.

Catégorie 2 : Les Aspects Pratiques du Traitement

Comprendre comment le traitement s'intègre dans votre vie quotidienne permet de réduire l'appréhension.

4. Comment l'infliximab est-il administré ?

Contrairement à un comprimé ou une simple piqûre, l'infliximab est administré par perfusion intraveineuse (IV).

Cela se déroule généralement à l'hôpital de jour ou dans une clinique spécialisée. Voici comment se passe une séance type :

  1. Accueil : Une infirmière vous installe confortablement dans un fauteuil.
  2. Préparation : Elle prend vos constantes (tension, température) et pose un petit cathéter (une fine aiguille en plastique souple) dans une veine de votre bras.
  3. La Perfusion : La poche d'infliximab, dilué dans du sérum physiologique, est connectée au cathéter. Le liquide s'écoule lentement, goutte à goutte, dans votre circulation sanguine.
  4. Durée : La perfusion en elle-même dure environ 2 heures. Il faut ajouter le temps d'installation et une période de surveillance après la fin de la perfusion (généralement 1 à 2 heures) pour s'assurer que tout va bien. Au total, prévoyez de passer une demi-journée à l'hôpital.
  5. Surveillance : Pendant toute la durée, l'équipe soignante vous surveille attentivement pour détecter la moindre réaction.

5. Quelle est la fréquence des perfusions ?

Le rythme d'administration suit un schéma en deux temps :

  1. La phase d'induction (ou de "charge") : C'est la phase de démarrage, où l'objectif est d'atteindre rapidement une concentration efficace du médicament dans votre corps. Le schéma standard est :
    • Première perfusion à la Semaine 0 (jour du début).
    • Deuxième perfusion à la Semaine 2.
    • Troisième perfusion à la Semaine 6.
  2. La phase d'entretien : Une fois la maladie contrôlée, on passe à un rythme de croisière pour maintenir la rémission. La fréquence est alors, le plus souvent, d'une perfusion toutes les 8 semaines.

Votre médecin peut ajuster ce rythme en fonction de votre réponse au traitement. Pour certains patients, les perfusions peuvent être rapprochées (toutes les 6 ou 7 semaines) ou la dose augmentée si l'efficacité diminue avec le temps.

6. Comment se préparer pour une journée de perfusion ?

Une bonne préparation permet de vivre cette journée le plus sereinement possible. Voici quelques conseils pratiques :

  • La veille et le matin : Hydratez-vous bien ! Boire beaucoup d'eau rendra vos veines plus visibles et facilitera la pose du cathéter.
  • Repas : Prenez un petit-déjeuner ou un déjeuner léger avant de venir. Il n'est pas nécessaire d'être à jeun.
  • Tenue vestimentaire : Portez des vêtements confortables et amples, avec des manches faciles à remonter. Pensez à prendre un gilet ou un plaid, car il peut parfois faire frais dans les salles de perfusion.
  • Pour vous occuper : La perfusion est longue. Prévoyez de quoi passer le temps : un bon livre, de la musique avec des écouteurs, un film ou une série sur votre tablette, votre ordinateur portable pour travailler si vous le souhaitez... La plupart des services disposent du Wi-Fi.
  • Documents : N'oubliez pas votre carte vitale, votre attestation de mutuelle et les documents demandés par l'hôpital.

Catégorie 3 : Les Risques et la Sécurité (La plus grande source d'anxiété)

Aborder la question des risques est essentiel. Il ne s'agit pas de vous alarmer, mais de vous informer pour que vous deveniez un partenaire actif de votre sécurité. Votre médecin a jugé que pour vous, les bénéfices attendus du traitement sont bien supérieurs aux risques potentiels.

7. Quels sont les effets secondaires les plus courants ?

Comme tout médicament actif, l'infliximab peut provoquer des effets secondaires. La plupart sont bénins et bien gérés par l'équipe soignante.

  • Pendant ou juste après la perfusion (réactions à la perfusion) :
    • Maux de tête, vertiges, nausées.
    • Fièvre, frissons.
    • Réactions de type allergique : démangeaisons, éruption cutanée sur le corps, rougeur du visage.
    • Plus rarement : oppression thoracique, difficulté à respirer.
    Rassurez-vous : L'équipe infirmière est spécifiquement formée pour surveiller, détecter et gérer ces réactions. Si nécessaire, elle ralentira le débit de la perfusion ou l'arrêtera et administrera des médicaments (antihistaminiques, paracétamol, voire corticoïdes) pour que tout rentre dans l'ordre rapidement.
  • À plus long terme (entre les perfusions) :
    • Une certaine fatigue peut persister.
    • Des douleurs articulaires ou musculaires peuvent apparaître.
    • Des infections des voies respiratoires (rhumes, bronchites) peuvent être un peu plus fréquentes.

Signalez toujours tout symptôme inhabituel à votre médecin ou à l'infirmière.

8. Quel est LE risque principal à connaître ? Le risque infectieux

C'est l'information la plus importante à retenir en matière de sécurité.

Le mécanisme : En bloquant le TNF-alpha, l'infliximab diminue l'inflammation, mais il réduit aussi une partie de vos défenses immunitaires contre les microbes. Votre corps devient donc plus vulnérable aux infections.

Le réflexe à adopter : Vous devez devenir vigilant et réactif. CONTACTEZ VOTRE MÉDECIN TRAITANT OU VOTRE SPÉCIALISTE SANS DÉLAI si vous présentez l'un des signes suivants :

  • Fièvre (même légère, au-dessus de 38°C).
  • Toux persistante, essoufflement, crachats inhabituels.
  • Brûlures en urinant, envies fréquentes d'uriner.
  • Mal de gorge important, ganglions gonflés.
  • Rougeur, douleur, chaleur ou écoulement au niveau d'une plaie ou d'une zone de la peau.
  • Symptômes de grippe (frissons, courbatures).
  • Douleurs abdominales inhabituelles ou diarrhée avec fièvre.

Avant de commencer le traitement, votre médecin a d'ailleurs réalisé un bilan complet (prise de sang, radio des poumons) pour s'assurer que vous n'aviez pas d'infection "dormante", notamment la tuberculose.

9. Y a-t-il d'autres risques plus rares mais graves ?

Oui, et il est important d'en parler en toute transparence. Ces risques sont rares, mais leur mention est obligatoire et doit être comprise dans le contexte du rapport bénéfice/risque.

  • Réactions cutanées : De nouvelles plaques de psoriasis ou d'autres types d'éruptions cutanées peuvent apparaître.
  • Maladies neurologiques : Dans de très rares cas, le traitement a été associé à l'apparition ou à l'aggravation de maladies démyélinisantes (comme la sclérose en plaques).
  • Insuffisance cardiaque : L'infliximab est déconseillé si vous souffrez d'une insuffisance cardiaque sévère, car il peut l'aggraver.
  • Risque de cancer (lymphome) : C'est souvent une source de grande inquiétude. Des études ont suggéré une légère augmentation du risque de développer certains cancers, notamment des lymphomes (cancers du système lymphatique). Il est crucial de nuancer cette information :
    • Ce risque reste très faible.
    • Les maladies inflammatoires chroniques elles-mêmes, en raison de l'inflammation permanente, augmentent déjà légèrement ce risque. Il est donc difficile de faire la part des choses entre le risque lié à la maladie et celui potentiellement lié au traitement.
    • Votre médecin a jugé que le risque de laisser votre maladie évoluer sans traitement (avec les complications que cela implique) est bien plus élevé que ce risque théorique.

Discutez ouvertement de cette inquiétude avec votre spécialiste. Il pourra vous donner des informations précises et adaptées à votre situation personnelle.

Catégorie 4 : Vie Quotidienne et Précautions

Vivre avec un traitement par infliximab ne signifie pas mettre sa vie entre parenthèses.

10. Puis-je me faire vacciner ?

C'est une excellente question, et la réponse est nuancée.

  • Les vaccins "vivants atténués" sont CONTRE-INDIQUÉS. Ces vaccins contiennent une version affaiblie du microbe. Chez une personne dont l'immunité est diminuée, ils pourraient provoquer la maladie qu'ils sont censés prévenir.
    • Exemples : Fièvre jaune (essentiel pour certains voyages), ROR (Rougeole-Oreillons-Rubéole), varicelle, BCG.
  • Les vaccins "inactivés" (ou "tués") sont AUTORISÉS et même RECOMMANDÉS. Ils ne contiennent aucun microbe vivant et ne présentent aucun risque d'infection. Il est crucial d'être bien protégé contre les infections évitables.
    • Exemples : Grippe saisonnière (à faire tous les ans), Covid-19, pneumocoque, tétanos, diphtérie, polio, hépatite B.

La règle d'or : Parlez de tout projet de vaccination à votre spécialiste AVANT de le faire. Idéalement, mettez à jour vos vaccins avant de débuter l'infliximab.

11. Grossesse et allaitement : est-ce possible ?

Oui, avoir un projet d'enfant est tout à fait compatible avec un traitement par infliximab, mais cela doit être une décision planifiée et partagée.

  • Grossesse : Il est aujourd'hui clairement établi qu'une poussée de votre maladie inflammatoire durant la grossesse est bien plus risquée pour vous et pour le bébé que le traitement lui-même. Pour cette raison, il est le plus souvent recommandé de poursuivre l'infliximab pendant la grossesse pour garder la maladie sous contrôle. Le traitement est généralement arrêté au cours du troisième trimestre pour limiter le passage du médicament au bébé juste avant la naissance. Cette décision est prise en concertation étroite entre vous, votre spécialiste (gastro-entérologue, rhumatologue) et votre gynécologue-obstétricien.
  • Allaitement : Le passage de l'infliximab dans le lait maternel est considéré comme très faible, voire négligeable. L'allaitement est donc souvent jugé possible. C'est également une décision à discuter avec votre équipe médicale.

12. Puis-je boire de l'alcool ? Dois-je changer mon alimentation ?

  • Alcool : Il n'y a pas d'interaction directe connue entre l'infliximab et l'alcool. Une consommation modérée et occasionnelle est donc généralement possible. Cependant, l'alcool peut irriter le tube digestif (ce qui est déconseillé en cas de MICI) ou interagir avec d'autres médicaments que vous pourriez prendre (méthotrexate, par exemple). La modération est la clé.
  • Alimentation : Il n'existe aucun régime alimentaire spécifique lié à la prise d'infliximab. Les seules recommandations nutritionnelles à suivre sont celles liées à votre maladie de fond, que votre médecin ou un diététicien vous aura conseillées (par exemple, un régime pauvre en résidus pendant une poussée de maladie de Crohn).

Catégorie 5 : Aspects Administratifs

13. Quel est le coût et est-ce remboursé ?

L'infliximab est un traitement très coûteux (plusieurs milliers d'euros par an). Cette information peut être anxiogène, mais soyez rassuré.

En France, les maladies pour lesquelles l'infliximab est prescrit sont reconnues comme des Affections de Longue Durée (ALD). À ce titre, le traitement et tous les soins qui y sont liés (consultations, examens, journées d'hospitalisation pour la perfusion) sont pris en charge à 100% par l'Assurance Maladie.

Vous n'aurez rien à débourser. C'est votre médecin spécialiste qui remplit la demande de prise en charge en ALD. L'infliximab est également classé comme "médicament d'exception", ce qui signifie que sa prescription obéit à des règles strictes, garantissant qu'il est utilisé pour les bonnes indications.

Conclusion : Vous êtes l'acteur principal de votre santé

Commencer un traitement par infliximab est une étape importante. C'est un outil thérapeutique puissant qui a transformé la vie de millions de patients à travers le monde, leur permettant de reprendre le contrôle sur leur maladie et de retrouver une excellente qualité de vie.

La clé du succès réside dans le partenariat que vous allez construire avec votre équipe soignante. Soyez curieux, posez des questions, signalez tout symptôme nouveau et n'hésitez jamais à partager vos doutes ou vos craintes. Vous n'êtes pas seul(e). Ce traitement est un allié, et votre vigilance est son meilleur complément pour garantir son efficacité en toute sécurité.

Dr. Dominique HOLCMAN
Médecin généraliste
Médecin généraliste depuis plus de 30 ans, le Dr. Holcman est partenaire et rédacteur chez Biloba. Engagé dans des actions humanitaires, il met son expertise au service de tous, avec une attention particulière portée à l'écoute, à la prévention et à l'accès aux soins.
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